Les 72h de l’Énarque : Futurs leaders et fierté nationale

Les 72h de l’Énarque, organisées à l’École nationale d’administration et de magistrature (ENAM), ont constitué un moment fort pour les futurs cadres de l’administration burkinabè. Placées sous le thème de « l’engagement patriotique dans l’exécution du service public », ces journées ont été l’occasion pour les étudiants de l’ENAM de renforcer leurs connaissances, de tisser des liens et de réaffirmer leur attachement à leur pays.

Le programme de ces 72h de l’Énarque était particulièrement dense et varié. Outre les activités festives, les étudiants ont pu assister à des conférences de haut niveau. La Grande chancellerie des ordres burkinabè, représentée par Kevin Gautier Siguidi, directeur de la communication, a notamment abordé les symboles de la nation et les distinctions honorifiques. Ces connaissances sont essentielles pour les futurs hauts fonctionnaires appelés à représenter leur pays.

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Santé et citoyenneté au cœur des préoccupations 72h de l’Énarque

Parallèlement aux aspects plus formels, les organisateurs ont mis l’accent sur des questions de santé publique. Une campagne de dépistage de l’hépatite B a été organisée, témoignant de la volonté des étudiants de s’engager pour le bien-être de leurs concitoyens.Le délégué général des élèves de l’ENAM, Pascal Kiendrébéogo, a souligné l’importance du patriotisme dans l’exercice des fonctions publiques. Il a rappelé que les futurs administrateurs ont un rôle crucial à jouer dans la résolution des défis auxquels fait face le Burkina Faso.

Le soutien des institutions

Ces 72h de l’Énarque ont bénéficié du soutien de nombreuses institutions, notamment du ministère d’État, de la fonction publique, du travail et de la Protection sociale, représenté par Bassolma Bazié. La présence de ces personnalités a souligné l’importance que revêt la formation des futurs cadres pour le développement du pays.
Les 72h de l’Énarque ont été une réussite. Elles ont permis aux futurs hauts fonctionnaires de se préparer au mieux à leurs futures responsabilités et de renforcer leur sentiment d’appartenance à la nation. Les étudiants de l’ENAM ont ainsi démontré leur engagement à servir leur pays avec dévouement et compétence.

Carol SAWADOGO