« Ton gars, c’est peut-être mon gars », le nouveau groupe WhatsApp qui fait fureur à Lomé (photo)
L’ennui, quand il nous tient… Il est vrai que le pays est petit et que la ville de Lomé ressemble à une grande chambre « entrer-coucher » où presque tout le monde se connaît. Mais là… !
Si vous êtes infidèle et sortez avec plusieurs filles à la fois, priez. Car bientôt, les « inspectrices » vont vous démasquer. Un groupe WhatsApp dénommé « Ton gars, c’est peut-être mon gars » fait actuellement le buzz dans la capitale togolaise. L’objectif est simple : identifier les garçons en couple avec plusieurs filles simultanément.
Le principe est clair : une fille envoie la photo de son gars pour vérifier auprès des autres membres si ce dernier ne sort pas avec l’une d’entre elles. À ce jour, plusieurs infidèles ont déjà été démasqués à Lomé. Mais ce phénomène ne commence pas ici.
Le phénomène du groupe WhatsApp « Ton gars, c’est mon gars » gagne du terrain en Afrique
Selon nos recherches, il a vu le jour au Gabon, où des jeunes filles, excédées par l’infidélité, ont décidé de dévoiler les hommes volages. Le concept a rapidement été repris au Cameroun, au Congo, et maintenant au Togo, avec des groupes comme « Ton gars, c’est mon gars » ou « Ton gars, c’est sûrement mon gars ». Il ne serait pas étonnant que toute l’Afrique suive bientôt cette tendance.
Si certains garçons en rient, d’autres, plus moralisateurs, dénoncent une atteinte à la dignité. Sur X (anciennement Twitter), des hommes gabonais ont même créé un groupe similaire, mais au lieu de partager les photos de leurs « goss », ils diffusent des nudes, ce qui tombe dans l’atteinte à la vie privée.
Soyez fidèles, ou assumez votre polygamie. Toutefois, vous souhaitez savoir comment gérer plusieurs gos à la fois sans te faire attraper, lisez ceci : Comment gérer 02 gos à la fois : les langues se délient.